Le ruisseau de Sainte-Suzanne, le moulin de la Bégassière et les sieurs Blanchard de la Buharaye.

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Peut être une image de arbre, nature et étendue d’eau
Le ruisseau de Sainte-Suzanne
En 1844 c’est un petit ruisseau né sans nom en Tressaint au village de la Ville ès Souedre ; il prend son premier nom en les terres de la Vairie en Saint-Solen en passant au plus près du petit hameau du Gué-Parfond dont il prend alors le nom.
Plus bas à la sortie de Saint-Piat il change de nom lorsqu’il passe SOUS la route de Dol très peu de temps après le tout petit embranchement de droite menant hier à l’ancienne école privée de la Guerche ; de fait en cet endroit il reçoit le ruisseau du Gué Carousseau né en Saint-Helen et, rencontrant celui-ci sur les anciennes terres de la Guerche, il change de nom après avoir franchit la route de Dol en passant sous le petit pont de Sainte-Suzanne.
De « ruisseau du Gué Parfond » il prend alors le nom de « ruisseau de Sainte Suzanne
« .

Le moulin du « Gué Parfond » ou le moulin de « la Bégassière« .

En sa fin s’écoulant en creux entre Saint-Helen et Lanvallay, frontière commune et naturelle de celles-ci, il y a proche de Chantoiseau le dernier instant du ruisseau du Gué Parfond celui-ci terminant en la Plaine d’eau de Taden sa course tant silencieuse.
Petit ruisseau transgenre il naît sans nom proche du village de la Ville ès Souedre en Tressaint et meurt en les roseaux de Chantoiseau nommée « Sainte-Susanne » une fois la route de Dol franchie; arrivé à la Porte de l’Outre-tombe celui-ci sépare géographique l’une de l’autre ces deux communes, ces deux anciennes paroisses d’hier (Le ruisseau de Sainte-Suzanne naît le Gué-Parfond lorsqu’il empreinte les sols de ce petit hameau; il disparait s’offrant à la Vouivre à Chantoiseau en se nommant Sainte-Suzanne. Il naît petit garçon pour mourir transmuté en petite fille en les roseaux des eaux désormais toujours lisses de la plaine de Taden ; quelle étrange destinée pour un petit ruisseau ancestral !
Jeu de druides ou bien simplement le jeu de dés du Maître du hasard ?
L’ancienne petite chapelle de Saint-Piat, chapelle disparue entre 1811 et 1837 puisque en 1844 sur le plan cadastral apparaît en son emplacement alors deux nouveaux bâtis datés respectivement de 1837 et 1838, aurait-t-elle pu donner à ce petit ruisseau son propre nom ?
En effet celle-ci, assise proche de Bois Collin, était aussi pas très éloignée du pont de Sainte-Suzanne. Ruisseau échevelé dès sa naissance son cours sinueux lui aussi n’est que désordre…la chute finale du Gué-Parfond est vraiment féérique en la plaine d’eau de Taden !

En 1780 sur le lieu même de sa transformation, de sa mutation, était un petit pont et celui-ci, en cette même année 1780, s’appelant déjà «le pont de Sainte-Suzanne », sera entière remis en état. Les travaux subiront tout un ensemble de désordres tous retardant sa réfection ; finalement les travaux seront entièrement terminé par les corvoyeurs de Lanvallay eux mêmes. Cet acte de « terminaison de travaux » sera l’objet d’un enregistrement officiel et d’une demande de paiement ordonnée par la Région).

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1844
Le Gué-Parfond, le pont de Sainte-Suzanne et le moulin de la Bégacière (travail de reconstitution personnel).

Géographie complète du Gué-Parfond
:
Le Gué-Parfond est le nom déjà donné en 1811 à un petit hameau de Saint-Solen; le Gué-Parfond est aussi le nom d’un petit ruisseau né sans appellation à la Ville ès Souèdre en Tressaint celui-ci prenant son premier nom ici même au Gué-Parfond.
Arrivé très tôt en Saint-Solen pendant très longtemps ce ruisseau alimenta le grand bassin d’eau du château de la Vairie.

En 1844 à la sortie de ce basin d’eau notre petit ruisseau s’éclate en deux branches distinctes l’une partant sur la gauche l’autre se dirigeant vers la droite ; toutes deux se rejoignent plus bas aux Emplats, en Saint-Piat, pour ne former de nouveau qu’un seul et même ruisseau.
Arrivé à la Vairie ce ruisseau formé de deux branches encercle géographiquement en 1844 toute l’ancienne paroisse de Saint-Solen.

En 1844 chacune de ces deux branches, cela d’un plan cadastral à l’autre, va prendre différentes appellations pour retrouver finalement celle du Gué-Parfond; de nouveau reformé le Gué-Parfond, franchissant le pont de Sainte-Suzanne qui enjambe la route menant à Dol, perd définitivement son nom pour prendre celui de « Sainte-Suzanne ».
Ainsi en 1844 à la sortie du bassin d’eau de la Vairie le bras de droit prend le nom « des Epinettes » ; arrivée aux Landes du Mezeray il empli la la « Mare des Epinettes » avant de s’enfoncer en terre une fois presque arrivé à la porte de ce village.
Enfoncé en terre il alimente la « Fontaine Barre » avant de rejaillir de celle-ci à ciel ouvert dans le Mezeray village qu’il traverse entièrement ; à la sortie de celui-ci il bifurque à droite pour descendre sur Bois-Fougère en prenant le nom de « la Mare au Potier ».
Peu avant Bois-Fougère le ruisseau de la Mare au potier, rencontrant un petit ruisseau né en les terres de Trévallon, reprend son premier nom, celui du « Gué Parfond », pour s’en aller alimenter le bassin d’eau du manoir de Bois-Fougère. Passant au derrière de ce manoir, qui fut une ancienne « maison noble » , il arrive aux Emplats pour retrouver son égo, la branche de Gauche.

Celle-ci à la sortie du bassin d’eau de la Vairie se dirige vers le hameau du Gué Parfond qu’il dépasse sans pour autant le traverser; un peu plus haut, rencontrant à sa droite le petit ruisseau « des Aulnais », il change de nom pour prendre celui de « la Noë Collet ».
Continuant sa route vers les Emplats il reçoit à sa gauche, face à la grande allée plantée menant à Bois-Fougère, un tout petit ruisseau né dans les bassin du château de la Touche Ferron ; dépassant cette allée une fois arrivé aux Emplats lui aussi retrouve son égo, à savoir sa branche de droite.
Le massif forestier, ci-dessous représenté en 1844, montre très clairement ce même encerclement par le Gué Parfond lui même.
Ces deux branches une fois réunies, de nouveau nommé « le Gué-Parfond  » notre ruisseau continue sa descente sur la plaine d’eau de Taden pour parvenir au pied de la propriété du château de la Guerche, au pied du pont de Sainte-Suzanne qui franchit la route menant à Saint-Malo, Dol et Avranches.
En Saint-Hélen, et en ce point précis, le Gué-Parfond reçoit un petit ruisseau en provenance du Gué Carousseau né au village de la Menaudière lui aussi assis en Saint-Helen.
Le Gué-Parfond et le Gué Carousseau tous deux unis, tous deux ne devenant qu’un à l’entrée des terres hier nobles de la Guerche, en passant sous la dite route de Dol vont donc ensemble prendre le nom de « ruisseau de Sainte-Suzanne ».

Aujourd’hui cette dernière appellation a entièrement disparu, aujourd’hui seule la branche de gauche s’appelle le Gué-Parfond et cela sur toute la longueur de son petit cours ; de fait le Gué-Parfond a aujourd’hui perdu tous ses autres noms.
L’arrière du moulin de la Bégassière tournée vers la rivière (photo personnelle).

Le registre des Augmentations cite pour l’année 1850 la présence à la Begassière de Saint-Hélen de la famille Michel de la Morvonnais. Il ne peut alors pour 1850 s’agir que de Jacques-Jean Michel de la Morvonnais puisque celui-ci décède à Pleudihen le 31/05/1807. Il ne peut donc s’agir que du fils de celui-ci, Jacques-François Michel de la Morvonnais, époux de Sophie Toullier, celui-ci trouvant le décès en son manoir de Saint-Armel de Bruz en 1871 « maire » de Bruz que celui-ci sera entre 1862 et 1864. Cependant s’il s’agit bel et bien de Jacques-Jean-Michel, décédé en effet en 1807, alors la Begassière aurait été acquise par celui-ci avant 1807 puis transmise par droit d’hérédité à son fils, le dit Jacques-François, sachant que quelques années avant 1807 la Begassière sera toujours le bien de la famille de la Buharay (le manoir de Saint-Armel de Bruz avait été par droits d’hérédité reçu en 1835 par son épouse, Sophie Toullier, héritière de son père ; Jacques-François Michel de la Morvonnais y décèdera en 1871).



Né proche de la frontière des anciennes paroisses de « Tressaint-Saint-Solen » le ruisseau de Sainte-Suzanne s’écoule, arrivé presque au terme de son court chemin, au pied même du château de la Bégassière ancienne terre noble assise depuis plusieurs siècles déjà sur les terres de Saint-Hélen.
En 1845 le grand géographe Ogée pour Saint-Solen parle de son moulin à eau qu’il nomme « le moulin du Gué Parfond », moulin que personnellement il présente aussi avec les petites carrières de moellons granitiques également présentes en Saint-Solen au Gué-Parfond lui même.
Mais Saint -Solen n’a jamais eu de moulin à eau !

En vérité le dit moulin à eau présenté par Ogée n’est « pas représenté », n’est pas du tout dessiné sur les différents plans cadastraux de Saint-Solen tous réalisés en la première partie du XIX siècle, plans incorporant tous le hameau dit « le Gué Parfond » (le plans de 1811 implante en le hameau du Gué-Parfond que son grand moulin A VENT nommé le « moulin du Gué’).
Pourquoi l’absence ici même au Gué-Parfond, en Saint-Solen, de ce moulin à eau pourtant cité en effet par Ogée lui même ?
Pour Saint-Solen dans sa totalité, et donc aussi pour le hameau du Gué Parfond, il en ira de même en les différentes listes nominatives établies dès l’année 1836 ; ces listes énumèrent par hameau le nombre de feus au travers de leurs occupants respectifs, au travers des métiers exercés aussi. En effet en ces mêmes listes dites « nominatives » jamais ne sera citée en Saint-Solen la présence du dit le moulin à eau et encore moins celle de son meunier.
Alors moulin à eau ou pas moulin à eau en le hameau du « Gué Parfond » ?

Y aurait-il pu y avoir « confusion » chez le dit géomètre Ogée entre le « ruisseau » du Gué Parfond ET le « hameau » du Gué Parfond lui même ?

Finalement serait-il aussi possible que ce même moulin dit du » Gué Parfond » soit en réalité le moulin de la Bégassiere lui-même puisque celui-ci, effectivement, est assis en Saint-Helen sur le ruisseau du même nom, ruisseau nommé en son contrebas le « ruisseau de Sainte-Suzanne » ?
Le ruisseau de Saint-Suzanne de fait n’est, et cela il est vrai, que le prolongement ou la propre terminaison du « Gué Parfond » rappelons le.

Vers 1950.
Lorsqu’il était encore en activité voici le moulin de la Begassière assis en dessous de son château
(devant celui-ci était son grand bassin de retenue d’eau comme l’atteste le plan de 1844 ci-dessous. Le petit chemin d’accès ici à la droite de ce bassin, chemin déjà existant en la dite année 1844 et menant à la rivière, à Chantoiseau, de nos jours n’existe plus avalé qu’il a été par l’actuel sous-bois).


La terre noble de la Becassiere en Saint-Helen est citée dès 1223 au travers de Thomas de la Becace et cela en une donation qu’envers l’Abbaye de Vieuville sous Dol fera Olivier premier seigneur de Coetquen cité par l’Histoire; Thomas de la Becace sera l’un des témoins principaux de cette même donation (Olivier, premier seigneur de Coëtquen par son mariage, en la paroisse de Lanvallay sur les hauteurs faisant face à Dinan sera possesseur de terres très étendues dont beaucoup surplomberont la rivière.
Ces terres n’étaient à la fin du XII siècle que vignes, des vignes étendues à perte de vue. Et lorsque Olivier venait en cette paroisse il y utilisera divers droits seigneuriaux tous attachés à sa propre personne dont celui de la Table, en fait la gratuité du repas, ainsi que celui de l’hébergement tous deux dû à tous gens de guerre.
Quand Olivier viendra voir son père Guillaume à Lanvallay, celui-ci mourant en le prieuré de la Magdelaine au pont à Dinan, il sera dit d’Olivier qu’il était le fils de Guillaume fils de Raoul; pour recevoir ses dernières fautes l’Abbe de l’Abbaye de Vieuville sous Dol viendra en personne le confesser en notre tout petit prieuré avant de le transporter sa mort venue en sa propre Abbaye.
L’oncle « présumé » d’Olivier, Jean de Lanvallei frère puisné d’Alain de Lanvallay, après diverses donations faites à celle-ci se fera moine en cette même Abbaye pour la rémission de toutes ses propres fautes…il y mourra et s’y fera inhumé. Décédé Guillaume, père du dit Olivier de Coëtquen, sera en effet inhumé en la dite Abbaye au côté de son parent le dit Jehan de Lanvallay…mais cela est une autre histoire).


Déjà bien de Guillaume Blanchard en 1478, noble homme natif de Dinan et demeurant alors à la Buharaye en Pledel, la terre noble de la Bégassiere sera citée en 1513 lors de la Réformation de la noblesse pour l’évêché de Dol; en 1513 l’actuel château ne sera pas encore construit et pourtant sur cette terre sera déjà existante il est vrai une métairie dite « noble ».
Cet acte de Réformation présentant cette métairie comme étant noble, ses terres comprises, lui donne pour possesseur en la dite année 1513 Marguerite Bertrand veuve dudit Guillaume Blanchard ; celle-ci en est alors le propriétaire avec son propre fils, Julien Blanchard
1478. Saint-Hélen. Guillaume Blanchart, natif de Dinan, demeurant à présent à la Buharaye tient en ladite paroisse une métairie nommée la Bégacière, ledit Blanchart est de bas état et veut tenir en icelle Estienne Bazille et Jehan Bazille frères exempts de fouages et l’ont été les 15 ans derrains, seraient imposés chacun 20 sous par fouage.
En procédant à l’ajournement vers celui Blanchard décrété devant lesdits commissaires pour savoir si le compte en l’article ci-dessus était véritable, a dit que oui, fors en ce qu’est l’extraction de lui de May. Il a dit du contraire et a dit être noble homme.
En marge dudit article : Il y a enquête par laquelle l’extraction de lui est contrariée partable…

1513. Saint-Hélen. Marguerite Bertran et Jullien Blanchard son fils possèdent noblement la métairie de la Bégacière…
Guillaume Blanchard comme moult autres seigneurs était possesseur de tout un ensemble de biens. A ce titre, possesseur de la Buharaye en Plédel (Plesder) en l’évêché de Dol, et y habitant en 1478, possesseur de la métairie noble de la Begassière en Saint-Helen il sera aussi possesseur de la métairie de la Forest-Haraud en Carfantin proche de Dol.

Les Armoiries des Blanchard de la Buharaye
Seigneurs de la Buharaye en Plédel et possesseurs en Evran et en Saint-Helen.
D’azur à 3 croissants d’argent : 2. 1

Le moulin de la Bégassière en 1844.
A la droite TOUTE est l’ancien petit chemin le desservant depuis la Route de Dol, aujourd’hui chemin privatif.

Le ruisseau de Sainte-Suzanne vient ici de droite ; le petit canal de gauche sur le plan est sa propre « continuité » s’en allant sur la plaine d’eau de Chantoiseau. A noter que ce petit canal était hier ENTIEREMENT appareillé de pierres très bien assemblées.
Le chemin d’accès menant aujourd’hui à cet ancien moulin est la limite parcellaire assise à la droite des parcelles 246-245-244-243 et 242 l’accès se faisant toujours par le tout petit trait union ouvert ici entre les parcelles 295 et sa proche voisine ici non numérotée).


Il faudra attendre l’année 1643 pour voir édifier l’actuel château de la Becassiere; celui-ci possédera dès sa sortie de terre le Droit de Basse justice.
Ce château sera en le milieu du XIX siècle le bien du sieur Michel de la Morvonnais très riche notable de Pleudihen
.
En 1894 ce château, ses terres et son moulin, seront le bien de Pierre Monreau lieutenant de vaisseau en la Marine marchande.
Laissant derrière lui le vieux moulin le ruisseau Sainte-Suzanne file vers la vouivre de Chantoiseau en un petit canal fait hier de pierres très bien appareillées et magnifiquement assemblées.

Peut être une image de plein air et arbre
Le moulin de la Bégassière en sa façade principale ; le logement était ici à droite ((photo de madame Gasnier Marina).

À défaut d’avoir eu en effet deux moulins assis tous deux sur ce tout petit cour d’eau la Vérité voudrait que le dit moulin à eau du « Gué Parfond » fut de tout temps assis sur le sol de Saint-Helen et non pas sur celui de Saint-Solen, fut de tout temps AUSSI le moulin de la Begassière.

Se dressent donc sous ces arbres, assis sur les terres du château de la Bégassiere, travaillant avec les eaux de Saint-Suzanne (ou celles du Gué Parfond puisque tel est aussi le nom de ce ruisseau), les murs encore entiers et toujours couverts d’un vieux moulin à farine qui fonctionnait encore au siècle dernier dans les années 1950 (ici à sa droite était à son extrémité nord/ouest le logement du meunier).
Le moulin, édifié en contrebas du château de la Bégassière, était alimenté par un étang situé en aval, réservoir d’eau situé entre lui même et le moulin de la Falaise alors son proche voisin lui moulin de mer; aujourd’hui ce bassin, hier de retenu d’eau, n’est plus désormais que pâture souvent gorgée d’eaux de pluie.
Perpendiculaire à cet ensemble, côté logement, à nord/ouest, était encore présent au début du XX siècle un autre bâti ou grand logement; aujourd’hui celui-ci n’existe plus du tout.
Alimenté par le ruisseau du Gué Parfond, ruisseau naissant Gué Parfond et mourant Sainte-Suzanne, nous faut-il donc voir aujourd’hui dans son unique moulin, moulin assis en Saint-Helen et nommé « de la Bégassiere » , le moulin nommé hier « moulin du Gué Parfond à Saint-Solen » par Ogée lui même ?
L’appellation du « Gué Parfond » , appellation donnée toujours aujourd’hui par certains à TOUT le « cours » de ce ruisseau, aurait ‘elle pu entrainer pour ce seul et même moulin une confusion de la part du dit Ogée ?
Nous pouvons en effet le supposer.

Les herbes hautes de Chantoiseau au soleil couchant ; ici même vient s’effacer le ruisseau de Sainte-Suzanne.
La petite cascade de Sainte-Suzanne au devant du moulin de la Bégassière (sur le plan de 1844 elle remplissait le petit bassin portant le numéro parcellaire 206) .