

Ici monsieur Le Fer de la Gervinais ?

Celui-ci en ses traits implante la future écluse et son déversoir tous deux projetés en le méandre de la Courbure alors lové en Taden.
Ce dessin en son importance implante aussi le Pavillon de Grillemont avec ses toutes premières dépendances.
Ce dessin sera exécuté AVANT que le château de Grillemont connaisse son propre agrandissement « néogothique » réalisé côté, au XVIII siècle cour ; ce dessin sera exécuté avant que soit réalisé en la dite cour la deuxième tranche du petit pavillon sur rue lequel, en sa totalité, SERA édifié au XVII siècle.
Il est vrai que le projet d’ouvrir la Bretagne intérieure à la navigation naît au XVI siècle et prend toute sa réelle importance à la fin du XVII siècle lorsque le règne de Louis XIV sera fortement malmené par les blocus à répétition ; le XVIII siècle en 1730, puis en 1746 et 1783 verra plusieurs fois renaitre ce grand projet tous envisageant la réunification de la Manche à l’Atlantique.
Moult fois envisagé, probablement plusieurs fois commencé ce canal sera réellement réalisé que sous le Premier Empire et cela que pour pouvoir contrer le blocus anglais ; il sera partiellement ouvert dès l’année 1832 c’est à dire bien après la mort de Napoléon 1er.
Toute l’importance de ce dessin réside donc dans le fait qu’il assoit la réalisation de cette même écluse bien avant le début du XVIII siècle, qu’il assoit la réalisation de ce projet en le courant du XVII siècle lui même.
Au lendemain de 1642, année en laquelle le port de Dinan et tout le quartier de la Magdeleine furent tous deux inondés plusieurs jours durant, ce projet effectivement semble avoir été définitivement abandonné. Ce dessin semble aussi devoir implanter au plus près du futur déversoir deux bâtis alors construits…Ne seraient ce pas les deux chapelles de la Courbure, la chapelle originelle en ruine et la nouvelle alors déplacée et construite à la place de la première ?
Prendre ou reprendre les différents chapitres consacrés à la Courbure…




En ses premières heures simple « Maison de campagne » le château de Grillemont surplombant la Rance apparaît dès le commencement du XVII siècle, entre 1601 et 1616.
Origine de propriété
Ce n’est alors qu’un «noble pavillon de campagne possédant tourelles» ; à peine sorti de terre vers 1640 il est agrandit une première fois par l’apparition à nord de son aile ; englobant ou avalant la tourelle de droite cette aile fera face elle aussi à occident.
Cette Maison de campagne, ou « pavillon », sera probablement édifié sur les terres originelles de la Landeboulou. Peu avant son décès le Sieur Nicolas Lerenec, Sieur de la Landeboulou, semble devoir diviser en deux parties distinctes toute SA Landeboulou gardant pour lui personnellement le manoir premier de la Landeboulou ; Nicolas transmettra à son propre neveu, Nicolas Lerenec ici deuxième du nom, ce même manoir.
Grillemont était né (Lors du baptême de Nicolas son neveu, demain son héritier il est vrai, enfant nommé le 05/09/1612, Nicolas Lerenec sera toujours dit « Sieur de la Landeboulou ». Celui-ci décèdera le 31/05/1640 TOUJOURS Sieur de la Landeboulou comme l’indique son acte de décès ; Françoise sa fille n’a alors que 13 ans.
Lire ou relire le chapitre consacrée à la « Maison noble de la Landeboulou »).
Nicolas Lerenec au lendemain de 1601 semble devoir en effet vendre toute une partie de son bien ici même assis à Alain Serizay époux d’Hélène Nicolas ; le hasard, ou bien le VOISINAGE, voudra ou voudront que la propre fille de Nicolas Lerenec devienne la jeune épouse de Pierre Serizay le propre fils des dits Serizay-Nicolas Sieur et Dame de Grandschamps mais AUSSI de Grillemont au lendemain de cette même acquisition.
La différence d’âge entre Françoise et son mari, beaucoup plus âgé, était de 25 ans.
La réalisation de cette aile sera la première phase des différents travaux ayant tous transformés le pavillon originel en véritable château de style néogothique. La façade principale du pavillon est alors orientée à occident, à l’ouest, faisant ainsi face à la rivière et regardant celle-ci ; ce « noble pavillon » est alors le bien d’un couple de notables socialement très bien assis de leur robe, « Alain Serizay et son épouse Hélène Nicolas (Par sa mère le noble homme Alain Serizay sera le petit-fils de Françoise Marot la propre tante de Jean Marot sieur du Cheminneuf à la Magdelaine du pont à Dinan).
Les « Serizay » au XVI siècle, possédant Armoiries et biens assis aussi en Dinan, semblent devoir sortir de la paroisse de Plouër au travers de leur terre des Isleaux, « Maison noble » très ancienne faisant alors partie du baillage de la Souhaitier, en Rigourdaine ; proche de la ferme actuelle il y a encore quelques années s’apercevaient toujours les traces des douves de l’ancien manoir fortifié des Isleaux.
Le plus vieil enfant Serizay cités par les BMS et d’autres écrits est Guillaume Serizay Sieur du Ruzy et des Grandschamps terre assise pour celle-ci à l’extérieur des murs de Dinan.
Sieur des Illeaux, Avocat au Parlement et au Présidial de Dinan, Guillaume né vers 1480 prendra pour épouse Françoise Marot la propre petite-fille de Tanguy Marot celui-là même qui ira offrit l’une de ces terres assises en intra-muros de Dinan pour permettre l’édification de sa future église de Saint-Malo.
La terre dite des Grandschamps était située en effet à la sortie du Faubourg des Rouairies là où se dresse aujourd’hui les « Petites Soeurs des Pauvres …propre et commode pour leudict convent et eglize qu’il auroinct choissi et regongneu estre en ugne pièce de terre appartenant à ladicte confrarie appelée le grand clos des Ormes sittuée leix la ville en la paroisse de Saint Saulveur dudict dinan…comme elle se contient et poursuilt avecque ses fossez clostures, et appartenances joignant d’un costé à la pièce de terre des grand-champs appartenant audict sieur des Illeaux…le couvent et monastère des Capucins se trouvait où se dresse actuellement les Petites Sœurs des pauvres .
Du dit manoir des Illeaux reste encore aujourd’hui, sur la face nord du logis principal, une petite meurtrière ainsi qu’une porte à double cintre surmontée d’un écusson malheureusement très altéré portant hier, peut être, les Armes « Amiot/Serizay ». En effet cette noble terre sera citée dès les premières heures du XV siècle, en 1427 exactement, au travers de Geoffroy Amiot ; l’année 1472 verra la citation de Guillaume Amiot lequel, sieur des Illeaux, parait en brigantine à la Montre ou revue militaire du sire de la Hunaudaye ; les seigneurs Amiot avaient leur enfeu dans le Chœur de l’ancienne église paroissiale de Plouer (La terre des Illeaux, ou Isleaux, avant 1513 fut le bien de Mathurin de Rochefort comme cela le sera rappelé en la dite Réformation de 1513 ; reste à savoir comment celle-ci fut acquise par le dit seigneur Amiot. Celle-ci se fit t’elle par succession héréditaire ou bien par simple acquêt ?).
Proche de la terre de Rigourdaine noble homme Jean Serizay en 1609 affranchira ainsi sa terre de la rente due à la seigneurie de Rigourdaine. En 1618 Guillaume Serizay sieur des Isleaux, sera connétable de Dinan cette charge se transmettant plusieurs fois au sein même de sa famille ; ainsi en 1638 et 1668 on retrouve successivement à cette même charge son fils et petit-fils. Revenons à la terre de Grillemont.
La terre noble de Grillemont et son pavillon seront mentionnés pour la première fois en nos BMS de Lanvallay, le 07/02/1616 exactement, lors d’un baptême réalisé sur les fonds baptismaux du prieuré du pont à Dinan (Tous au long du XVII siècle les plus grands notables des deux paroisses de Dinan ferrons pour ainsi dire TRES SOUVENT baptiser leurs propres enfants sur ces mêmes fonds) .
Ce bien, ce pavillon, est donc en la toute première heur du XVII siècle la noble propriété des dits « Alain Serizay et Hélène Nicolas » tous deux Sieur et Dame de Grandschamp en Dinan ; Alain de sa charge sera avocat au Parlement de Bretagne, à Rennes, mais aussi au Siège Présidial de Dinan (Hélene Nicolas quant à elle n’avait rien à envier à son époux ; elle était en effet la fille de Pierre Nicolas sieur du Gislaut en Saint-Piat, lui aussi grand notable de sa charge « greffier d’Office de la Cour de Dinan ». Jehan Nicolas, frère d’Hélène, prendra lui pour épouse Jeanne Martin héritière de l’une des seigneuries » des Champsgeraux en Evran au travers du manoir de la « Gravelle » laquelle Jeanne transmettra à son époux cette dite noble terre; alloué de Dinan par sa charge Jehan Nicolas sera aussi Conseiller du roi au Siège Présidial de Dinan.
La famille « Martin », famille à laquelle ici est rattachée la dite Jeanne, apparait elle aussi dès les premières heures du XVI siècle en le pays de Plouër, en 1513 exactement, lors de la première Réformation » ; Seigneur et Dame de Carheil les « Martin » possèdent alors en Plouër la terre noble du Verger avec les Armoiries suivantes : D’azur semé de billettes d’argent au franc cartier de gueules et chargé de 3 rustres d’or).
Moult fois modifiée la noble propriété de Grillemont sera depuis son origine transmise au sein d’une même noble famille : les Serizay ; ceux-ci prendront un peu plus tard le nom de « Serizay de Grillemont ». Monsieur Aimé, aujourd’hui propriétaire du château de Grillemont, est l’un des descendants de ces deux mêmes familles dites « Amiot et Serizay ».
Au lendemain de 1635, comprenant au sud certaines dépendances dont une débordant sur la rue, la grande cour d’honneur entourée de ses jardins déjà existe ; parmi celles-ci sera une petite chapelle; cette dernière aujourd’hui en tant que telle n’existe plus (Au travers d’un acte de mariage l’existence de cette petite chapelle assise en la Cour du château sera au XVII siècle rappelée en les BMS du prieuré de la Magdelaine).
A la fin du 17ème siècle le domaine connaît une première campagne de travaux lorsque sera réalisé en la grande cour, vers nord, en limite des jardins, un second corps de communs beaucoup plus grand.
Cette même campagne sera accompagnée de certaines transformations faites en les murs des grands jardins assis eux à midi et orient; sur l’une des pierres de la grande porte d’entrée desservant depuis la route ce grand enclos figure en effet la date de 1678 (peut-être la date de 1618 la forme écrite du 1 ou du 7 portant beaucoup à confusion).
Cette date correspondait-t-elle au moment où ces jardins fut ceinturée de leurs propres pourprins ou bien simplement l’année en laquelle cette grande porte desservant les jardins fut réalisée ?
Aujourd’hui la façade principale du château, de style néogothique, côté cour, est le résultat d’un très grand agrandissement qui fut réalisé au 18ème siècle. Cette réalisation transformera le pavillon originel en un véritable château à huit travées entièrement ouvertes sur sa cour d’honneur; la façade principale qui était à l’ouest est dorénavant passée à orient. Une modification moins importante que la précédente sera faite dans la seconde moitié du 19ème siècle, vers 1860-70 ; celle-ci sera la dernière phase des travaux apportés à ce château; Cette dernière phase surélèvera la partie haute du château et amènera en les combles à l’aménagement de nouvelles lucarnes ; apparaîtra alors au fronton du château, intégrées en le en la nouvelle toiture, les Armoiries couronnées en mi-parti que nous pensons être les Armes de Clémentine-Marie Urvoit de Saint-Mirel (fille de Clémentine Serizay dlle de Grillemont et d’Adrien-Marie-Joseph Urvoit de Saint-Mirel possesseur de la Nourrais en Lehon) et de celles de son époux Hyppolite-Marie le Fer de la Gervinais. Né en 1820, uni en 1853 à Clémentine-Marie Urvoirt de Saint-Mirel, Hyppolite-Marie Le fer de la Gervinais avec son épouse semble devoir au lendemain de leur mariage habiter en la demeure de la Nourrais en Lehon, bien de feu son beau-père, puisque Pierre Serizay , « oncle » de Clémentine sa femme, par droits d’hérédité était alors entré en possession du château de Grillemont (lors de sa première rencontre sentimentale avec Clémentine-Marie Urvoit celle-ci résidait alors à la Nourrais, maison de ses parents. D’après une conversation personnelle que j’eu un jour avec madame Aimé il semble y avoir EU UN ECHANGE DE PROPRIETE entre le fils du dit Pierre Serizay ci-dessus nommé, Pierre-Louis Serizay seigneur de Grillemont, et Hyppolite et son épouse Clémentine-Marie Urvoit, la cousine germaine du dit Pierre-Louis ; ces deux familles ainsi mutuellement s’échangèrent et Grillemont et la Nourrais.
Au titre de cet échange Clémentine et Hyppoline quittèrent la Nourrais pour prendre possession de Grillemont et vis versa pour Pierre-Louis qui lui abandonna Grillemont pour prendre possession de la Nourrais).
Hyppolite Le fer de la Gervinais par sa famille était issu d’une famille elle aussi déjà ancienne, famille sortie du pays de Saint-Malo ; grand notable de Léhon il sera « conseiller municipal » de Léhon de 1870 à 1885 année en laquelle il démissionnera. En tant que premier adjoint son propre fils, Fernand Le Fer, en 1886 lui succède avant d’être élu maire le 17/06/1886 ; de son union avec Clémentine il aura en effet pour enfants et Fernand ci-dessus nommé et Marthe-Marie. Hyppolite Le Fer et Clémentine Serizay sont les probables « maitres d’œuvres » des derniers travaux apportés au château leurs Armoiries étant représentées il me semble en le dit fronton de la toiture du château. Par logique cette dernière tranche de travaux apportée au château sera réalisée au lendemain de leur mariage, donc après la dite année 1853 ; ils passent pour avoir été réalisés vers 1860-70 Hyppolite étant alors toujours « Conseiller municipal » de Lehon.
Par sa propre généalogie la terre noble de Grillemont est reliée à l’histoire du manoir de la Landeboulou ainsi qu’à celle du Gilaut en Saint-Piat; mais ceci est une autre …histoire.
Les derniers travaux ayant eu lieu au château, chantier réalisé vers 1860-70, semble avoir été en effet réalisés par Clémentine-Marie Urvoit de Saint-Mirel et Hyppolite-Marie le Fer de la Gervinais puisque leur fils Ferdinand le Fer lui voit le jour vers 1854 ; l’échange entre Grillemont et la Nourrais fut donc très probablement réalisé entre 1853 et 1860-70. En ces Armoiries en mi-partie portées en le dit fronton les Armes des « Le Fer de la Gervinais » sont : « un échiqueté d’Or et de Gueules » ; Les « Urvoit de Saint-Mirel », famille noble issue de Plénée-Jugon sont quant à elles : « d’azur à 7 molettes d’or » 3-3-1.
Description des lieux

Explication sur de dessin de reconstitution : Ci-dessus en bleu est le pavillon originel à tourelles très probablement édifié au tout début du XVII siècle, au lendemain de 1601, ses premiers possesseurs Alain Serizay et Alaine Nicolas tous deux naissant en effet vers 1560 ; ce pavillon « premier » dans sa longueur originelle s’avance alors jusque sur la cour, dans son actuel alignement.
Il est possible que ce pavillon surplombant la Rance, surplombant l’entrée du port de Dinan comme voulant épier toute intrusion éventuelle, ait été érigé lui même sur les fondations d’un bâti premier beaucoup plus ancien, quel qu’il ait été, puisque la terre de la Landeboulou assise juste à côté sera elle citée dès la fin du XI siècle, sera elle citée en l’acte de fondation du prieuré du pont à Dinan au travers de son seigneur du moment : Picot de Lande Boilot. La partie rouge, dans sa propre construction, semble devoir suivre de peu la date de 1635-40 puisque sur ce plan ou dessin ci-dessous représenté cette extension n’existe pas encore; est alors un jardin tourné face à la rivière tournant lui le dos à un grand corps de dépendances dirigé vers vers nord, probablement les premières grandes dépendances du « pavillon » lesquelles dépendances demain, au XVIII siècle, laisseront la place à l’agrandissement « néogothique ». Jusque vers 1900 cet « agrandissement ou aile ici en rouge » possédait un toit en terrasse ; celui-ci sera recouvert d’un toit traditionnel peu après l’apparition de la photographie afin d’amener la réalisation d’une pièce haute. En noir sont les grandes modifications apportées au XVIII siècle au pavillon premier transformant celui-ci en un véritable château aménagé au gout néogothique du moment en effet ; cette campagne semble avoir vu aussi en le jardin adossé à la Cour à la réalisation du grand corps de logis ou dépendances assis lui perpendiculairement au château, grandes dépendances sur ce dessin non représentées. Cette façade sur « cour » sera modifiée en sa partie haute au XIX siècle, vers 1860-70, travaux amenant alors la réalisation du fronton haut armorié.

Explication de ce plan cadastral : A noter sur ce plan cadastral exécuté en 1844, en la petite dépendance de gauche assise en limite de propriété, la présence TOUJOURS EXISTANTE de la « petite chapelle supposée » donnant sur le chemin vicinal ; est aussi existante, également disparue aujourd’hui, une petite construction en appuie sur cette même petite dépendance rétrécissant par sa seule présence l’entrée du château, entrée du château aujourd’hui beaucoup plus grande il est vrai.
A noter aussi le fait que les deux tourelles délimitant le pavillon central, côté rivière, ne sont pas ici représentées ; il ne s’agit ici aucunement de leur propre absence à l’édifice celles-ci ayant été ici même tout simplement « intégrées » au bâti. De faite le trait du bâti les englobe entièrement.
A l’inverse sont représentées deux excroissances, deux rajouts, l’un à la droite immédiate de l’AILE NORD adossée au pavillon l’autre étant lui oblique à la tourelle de gauche non représentée ; ces deux rajouts n’existent plus aujourd’hui celui de gauche pouvant « éventuellement » avoir été un escalier ayant mené hier à la terrasse haute de la dite petite aile.
Est aussi absente aujourd’hui à nord, ou à droite en la cour, la toute petite dépendance « prolongeant » à ouest, vers la rivière, la grande dépendance édifiée hier sur les jardins ; aujourd’hui en effet disparue par sa seule absence elle a agrandit en quelque sorte l’accès des jardins ici en parcelle n°224.





Explication de ce dessin : Reconstitution partielle du château de Grillemont d’aujourd’hui (Il manque toutefois sur ce dessin la petite dépendance à nord, ou à droite, en appuie sur l’actuelle cuisine, ou sur le grand corps dessiné en bleu ; celle-ci est déjà représentée sur le plan cadastral de 1844 absent qu’elle est sur celui de 1811. Le « Pavillon » originel lorsqu’il fut construit s’avançait jusque sur la cour; toute une moitié de celui-ci sera en effet « avalé » dans l’agrandissement néogothique) . Au lendemain de 1635 en rouge est le manoir originel et ses deux tourelles entourant ou délimitant ensemble le pavillon accompagné de son aile assise à nord (Construite au lendemain de 1635 est aussi en rouge en effet la petite extension, ou aile, assise contre la tourelle de droite à nord ; aujourd’hui recouverte d’un toit elle eu hier, semble t’il, un toit en terrasse entièrement à « ciel ouvert » . Edifice montré encore sur quelques cartographies anciennes sa toiture en « terrasse » fut transformée en pièce peu après l’apparition de la photographie amenant ainsi l’actuelle toiture).
Dès les premières heures du « Pavillon » la cour existe déjà dessinée en effet qu’elle sera vers 1635 ; elle semble cependant devoir être alors un peu moins importante, un peu moins large de midi à nord.
En bleu est l’agrandissement de style néogothique apporté au château au XVIII siècle, travail réalisé sur sa façade orientale et en appui sur le pavillon originel. Cette transformation du pavillon originel transformera celui-ci en château digne de ce nom et déplacera ainsi l’entrée principale du pavillon originel de midi à Orient (possédant cour le « Pavillon premier » devait cependant en celle-ci aussi posséder une grande entrée).
La cour deviendra une grande cour d’honneur le nouveau château entièrement ouvert sur celle-ci ; en noir sont les dépendances toujours aujourd’hui existantes. Le petit corps de logis à gauche ou au midi, assis en la cour vers la rue, en limite de propriété, apparait lui au début de la moitié du XVII siècle, cela bien avant les travaux importants apportés au pavillon au XVIII siècle puisqu’il sera en effet représenté sur le dit dessin de la Courbure réalisé vers 1635; la grande dépendance à droite, perpendiculaire à la rue ou au château, semble elle devoir accompagner en effet les grands travaux qui seront réalisés au XVIII siècle.

Apparition dans le jardin de deux pavillons ou roseraies aujourd’hui à ciel ouvert.


Explication de ce dessin : Reconstitution des parcelles bâties ET non bâties de la Landeboulou et de Grillemont lesquelles, en 1833, étaient entre les mains d’Anne de Serizay, de Pierre-Louis de Serizay et d’Eugène de Serizay (Eugène Serizay marié à Angélique de Pean sera possesseur en 1856, ou propriétaire, du château de Beauvais en Lanvallay ; cela sera dit en les listes nominatives de Lanvallay. Ils sont tous trois les enfants de Pierre Serizay de Grillemont et de Marie-Françoise Lanjourbaut de la Plochère ; Pierre-Louis prendra pour épouse Caroline-Marie-Emma Guérin). Anne et Pierre Serizay sont tous dits de Grillemont, Eugène et Pierre étant également propriétaires de nombreuses autres parcelles s’étirant plus au sud, de l’autre côté du chemin menant de Lanvallay à Saint-Malo, terres étendues et comprenant notamment AUSSI l’ancienne seigneurie de la Samsonnaye. Anne de Serizay de Grillemont possède ici tout le parcellaire de couleur vert-foncé, Pierre de Serizay de Grillemont possède quant à lui tout le parcellaire de couleur vert tendre, Eugène de Serizay, dit de Dinan, possède lui tout le parcellaire de couleur vert-gris ou vert moyen. Nous voyons très bien ici l’étendue foncière et très importante de cette seigneurie locale laquelle possédait, au sein de sa famille, presque toutes les terres formant la dite Landeboulou. Voir ci-dessous la liste…

A noter aussi aujourd’hui la perte de la moitié de cette même dépendance par rapport à celle dessinée sur le dit plan de 1635 ; ici même face à la rue se dressait peut-être la petite chapelle du château citée ici présente en un acte BMS de Lanvallay lors d’un mariage religieux réalisé au château au XVIII siècle.






Le château possédant encore au XVII siècle sa chapelle, puisque « mariage » y sera célébré et enregistré, celle-ci aujourd’hui entièrement disparue aurait t-elle pu ici même être ?
Entièrement modifié en sa façade sur cour il ne reste aujourd’hui de ce petit logis édifié au XVII siècle , en sous bassement, qu’une seule fenêtre ouvragée avec sa grille de défense.

L’autre pignon ou la façade du château vu depuis le jardin ou l’ancienne roseraie.

L’entrée originelle « RDC » du Pavillon à tourelles.
Caché ici sous cette verdure le linteau de la porte comporte une immense parenthèse sculptée; l’embrasure de la porte est elle aussi sculptée.
Cet accès donne dans le RDC du Pavillon originel pièce dans laquelle se trouve une cheminée armoriée aux Armes « Serizay ».
La porte d’entrée et sa magnifique grille semble devoir être du XIX siècle.

La dite petite fenêtre aux embrasures ouvragées du logis du jardinier.

La partie gauche, tout en étant elle aussi du XVIII siècle, semble devoir relever d’une première tranche ; les linteaux des 3 fenêtres assises à droite sont en effet du type monolithique lorsque la porte d’entrée « décentrée par rapport au fronton ainsi que les autres ouvertures à sa droite ont toutes des linteaux constitués de pierre appareillées. En la seconde moitié du XIX siècle cette façade sera en sa partie haute surélevée comme en témoignent et la longue corniche et les cheminées toutes en pierres de taille ; ces travaux amèneront la réalisation de nouvelles lucarnes ainsi le fronton armorié aux Armes Le fer de la Gervinais / Urvoit de Saint-Mirel.
Le petit bâtiment de droite assis face au château, en fond de cour, appuyé à la rue, lui sera plus tard avalé dans un agrandissement lequel à nord, vers le village, le portera en limite de propriété en le sortant de sa cour édifié qu’il sera aussi sur le jardin triangulaire. Probablement en même temps, perpendiculaire à celui-ci et en son milieu, sera édifié à l’extérieur de la cour sur le dit jardin triangulaire, en appuie contre le pourprin de la cour, un grand corps de dépendances s’avançant presque jusqu’au château.
Le second petit bâtiment en la cour, construit en deux corps eux assis ici à gauche, ou au midi, et émargeant alors sur la voie vicinale, à perdu aujourd’hui la moitié de sa longueur ne restant à ce jour que le corps sur la cour. Il sera fait mention au XVIII siècle de la présence d’une chapelle en la cour du château ; le corps aujourd’hui disparu et donnant hier en effet sur la voie vicinale était t-il la dite chapelle ?

Colonne commémorative des Serizay de Grillemont.
Elle porte sur chacune de ses faces une plaque de marbre blanc; sur l’une d’elles les Armoiries des Serizay sieur de Grillemont ont été déposées et elles sont : Écartelé aux 1 et 4 d’azur à la fleur de lys d’argent en cœur, accompagnée de trois roses d’or, posées 2 et 1; aux 2 et 3 d’argent à trois guidons de gueules, les lances hautes, posées en pal.
Le sommet de la colonne contient une urne voilée.



Les Serizay sortent de la paroisse de Plouer aux travers de leurs Armoiries, au travers de leur terre des Isleaux. ; celles-ci semble avoir été ici comme effacées. Proches de la terre de Rigourdaine noble homme Jean Serizay en 1609 affranchira ainsi sa terre de la rente due à la seigneurie de Rigourdaine.
En 1618 Guillaume Serizay sieur des Isleaux sera connétable de Dinan cette charge ; cette charge se transmettra plusieurs fois au sein de sa propre famille.


La fenêtre fortifiée de la petite aile à nord/occident.

En les BMS de Lanvallay cet acte de baptême rédigé à Lanvallay en 1616 et spécifiant l’existence d’Hardouyne Serizay comme étant Dame de Grillemont : Hardouinne Allot fille Macé et Jeanne Boudeaux a este baptisée par moy soub signé Prioul subcuré de Lanvalay sur les sainct fonts de la Magdelaine et presentee yceux par messire Guillaume Saint imprimeur de Dinan et avec la honorable damoiselle Hardouinne Serizé Dame de Grillemont temoin faict septiesme jour de febvrier mil six cent seize. Hardouyne Serizay – Prioul – Guillaume Sainct – Marault

La date de 1678 correspondant très probablement à la réalisation des pourprins.
Il est cependant possible que cette date puisse être celle de 1618 mais logiquement les 1 sont alors représentés en I lorsque les 7 eux le sont en 1.

Les Armoiries « le fer de la Gervinais sont ici à gauche quand celles des Urvoit de Saint-Mirel sont à droite.





A midi/occident la magnifique grille ouvragée donnant sur le parc du château.
Apparition et distribution du nom :
– Le noble château de Grillemont apparait ainsi écrit pour la première fois en nos BMS le 07/02/ 1616 lors du baptême d’Hardouine Allot baptisée au prieuré de la Magdelaine ; l’enfant sera déposée entre les mains d’Hardouine Serizé dite Dame de Grillemont.
Hardouine naît le 16/12/1595 et prendra pour époux Ecuyer Pierre Prévost seigneur de la Foresterie en Lehon.
– La seconde fois cela sera pour son propre frère, Jacques, qui lui voit le jour le 12/10/1601 ; il sera dit sieur de Grillemont en 1622 lors du baptême de Jacques Labbé toujours à la Magdelaine.
Sœur et frère et âgés lors des baptêmes tous les deux de 21ans on peut normalement supposer que leurs parents à tous deux étaient donc établis sur les terres de Grillemont à Lanvallay leur « Pavillon » alors déjà construit.
– Aussi leurs parents à tous deux seront Alain Serizay et Hélène Nicolas ; Sieur et Dame de Grandschamp terre assise en Dinan.
Alain sera avocat au Parlement de Bretagne à Rennes et avocat au présidial de Dinan aussi ; par sa mère Alain Serizay sera le petit-fils de Françoise Marot la propre tante de Jean Marot sieur du Cheminneuf à la Magdelaine celui-ci également son parent.
Alain nait peu après 1554 année en laquelle ses parents l’un à l’autre s’uniront.
Alain transportera le pavillon de Grillemont à Pierre, son fils aisné, puisque celui-ci, sieur de la Gastinaye, conseiller du roi, alloué et lieutenant général de la Cour de Dinan, nommera à Lanvallay sa fille Bertranne dite « demoiselle de Grillemont » ; celle-ci sera baptisée le 03/09/1634.
Epoux de Françoise Lerenec « Dlle de la Landeboulou » , fille de Nicolas Lerenec et de Bertranne Roumain tous deux Sieur et Dame de la Landeboulou, Pierre s’éteindra en 1650 non sans avoir laissé un fils héritier lui aussi nommé « Pierre » lors de son baptême ; cet enfant sera nommé le 27/11/1636.
– Pierre Serizay ci-dessus, écuyer, sieur de la Gastinaye, se mariera à Renne le 27/11/1660 à Renée Prioul native de Rennes les parents de celles-ci résidant en cette ville ; Grillemont est alors probablement encore que le simple pavillon de campagne à tourelles.
Pierre et Renée sont probablement ceux qui feront réaliser les premiers grands travaux en leur Pavillon et notamment les travaux du jardin et la réalisation du très grand mur délimitant côté rue toute la propriété ; de cette union naitra le 30/06/1668 Pierre-Hyacinthe qui suit.
– François-Hacinthe Serizay ci-dessus.
Ecuyer et sieur de Grillemont domicilié à Lanvallay, marié le 01/11/1701 à Marie-Julienne de Miniac. Seigneur des Fontenelles dont Pierre-Jan qui suit.
– Pierre-Jean Serizay Serizay ci-dessus, messire et sieur de Grillemont et époux de Marie Jonchée dont Pierre-Clément qui suit.
– Pierre-Clément Serizay ci-dessus seigneur de Grillemont né au chateau de Grillemont.
Il épouse le 27/06/1786 Marie-Magdeleine Gardin de la Chenaye ; il fut capitaine des Dragons et chevalier de l’Ordre de Saint-Louis. Il décède à Dinan le 28/02/1826 en ayant eu popur enfants Pierre et Clémentine Serizay qui suivent.
– Pierre Serizay ci-dessus. Seigneur de Grillemont ; il épousa le 22/07/1822 Marie-Françoise Lanjourbaut de la Plochère ; il est le père du suivant.
– Clémentine Serizay frère de Pierre ci-dessus.
Elle épousa en 1824 à Lanvallay Adrien-Marie-Joseph Urvoy de Saint-Mirel lequel fut anoblit par lettres patentes le 30/03/1816 ; ils sont les ancestres de la famille actuelle des « Le Fer de la Gervinay de Grillemont ». Père et mère de Clémentine-Marie ci-dessous.
– Pierre-Louis Serizay fils de Pierre ci-dessus et neveu de Clémentine ci-dessus.
Né le 23/05/1848. Seigneur de Grillemont il épousa Caroline-Marie-Emma Guerin ; il est peut-être avec sa cousine Clémentine l’auteur de l’échange qui eu lieu entre Grillemont/Nourrais. Ils sont les parents des suivants.
-Pierre-Raoul Serizay et Artur Joseph Seizay nés vers 1850 et fils des précédents ; avec eux deux semble devoir définitivement s’éteindre la branche directe de Serizay de Grillemont.
-Clémentine-Marie Urvoit de Saint-Mirel qui épouse Hyppolite-Marie Lefer de la Gervinais.
Né en 1820, Conseiller municipal de Léhon de 1870 à 1885, originaire de Saint-Malo, il réside au manoir de la Nourais en Léhon bien de feux des beaux-parents avant de prendre possession de Grillemont.
Conseiller municipal de Lehon (échange supposé Grillemont-La Nourrais).
-Ferdinand-Marie le Fer de la Gervinais qui épouse Jeanne-Marguerite Brunet du Guillier ; fils des précédents né vers 1850.
1er adjoint de Léhon en 1886, élu maire de Léhon le 17/06/1888 c’est lui qui signera l’acte municipal qui ordonnera la démolition de l’église paroissiale de Lehon ; il semble devoir récupérer la Nourrais aux décès de Pierre-Raoul Serizay et Artur Joseph Serizay ci-dessus cités.
-Fernand Le Fer de la Gervinais né en 1874 et décédé au château de Grillemont le 30/11/1919.
-Ferdinand Le Fer de la Gervinais qui épouse N. Lescanne.
Né vers 1900 et possesseur de la Nourais en Léhon il sera propriétaire aussi et du château de Grillemont et de la métairie du Réhanet.
-N.Le Fer de la Gervinais née en 1925 qui épouse N.Aimé général dans l’armée. Madame Aimé deviendra seule propriétaire du château après la division des biens hérités sa sœur aînée ayant pour elle notamment et en autres choses le Rehanet.


Le chantier à bateau et le château de Grillemont.
A noter pour celui-ci, ici à sa gauche immédiate, dans ce qui est aujourd’hui les jardin, un autre corps de logis de nos jours entièrement disparu.

Le château de Grillemont au dessus du méandre de la Vieille rivière. Travail cadastral personnel…

Avant le percement du rocher…travail de reconstitution personnel.

Liste parcellaire des terres :
N° parcellaire – Nom de la Parcelle – Nature de la dite parcelle
3 et 4 : le Clos Duran. Pré et terre labourable
8 et 9 : le Marais. Terres labourables
14 : Futaie. La Chenaie
19 : La Chouanière. Courtil
21 : la Chouanière. Maison
22 : la Chouanière. Masure
23 : le Petit Domaine
24 : la Chesnaie. Pature
25 : la Chesnaie. Pature
26 : Landeboulou. Maison
27 : Colombier. Bâtiment
28 : le Jardin. Courtil
32 : le Closset. Terre labourable
34 : le Domaine. Terre labourable
35 : le Domaine. Landes
37 : le Rocherel. Terre labourable
39 : la Petite Moussaye. Terre labourable
43 : les Vaux.Futaies
44 : les Vaux. Futaie
45 : les Vaux. Futaie
51 : le Tertre aux Bergères. Landes
53 : le tertre aux Bergères. Terre labourable
56 : le Tertre aux Bergères. Terre labourable
62 : la Fontenelle. Terre labourable
64 : la Fontenelle. Terre labourable
67 : le Faux. Terre labourable
69 : le Faux. Terre labourable
77 : les Nouettes. Terre labourable
82 : les Nouettes. Terre labourables
86 : le Clos Guimbert. Terre labourable
87 : le Clos Guimbert. Pâture
88 : le Clos Guimbert. Futaie
91 : le Bignon. Terre labourable
93 : la Lande des Tranchais. Futaie
95 : la Vallée des Lochues. Terre labourable
96 : la Vallée des Lochues. Landes
97 : la Vallée des Tronchais. Terre labourable
98 : la Vallée des Tronchais. Pré
99 : la Vallée des Tronchais. Landes
100 : les Petits Echaussés. Terre labourable
101 : les Garennes. Terre labourable
102 : les Champs Chenais. Terre labourable
106 : les Champs Chenais. Terre labourable
109 : l’Epine. Terre labourable
112 : l’Epine. Terre labourable
116 : le Lizerait. Terre labourable
117 : le Clos Tremereuc. Terre labourable
118 : le Clos de la Fontaine. Terre labourable
119 : le Jardin de Cornican. Courtil
120 : le Doué de Cornican. Pré
121 : Cornican. Maison
122 : le Petit jradin de Derrière. Pré
124 : la Châteigneuraie. Futaie
125 : l’Entée au Domaine de Grillemont. Terre labourable
126 : le Domaine. Terre labourable
127 : le Plessis sur la Vallée. Pré
129 : la Campagne de la Landeboulou. Terre labourable
132 : la Campagne de la Landeboulou. Terre labourable
142 : le Grand Courtil. Terre labourable
146 : le Grand Courtil. Courtil
155 : le Bâtiment des Rues. Courtils
156 : le Jardins des Planches. Courtils
157 : le Jardin de Derrière. Courtil
158 : le Jardin de Derrière. Courtil
160 : la Cour Durand. Masure
162 : la Cour Durand. Maison
167 : la Cour Durand. Courtil
171 : les Planches. Courtil
172 : les Planches. Courtil
174 : le Jardin de Derrière. Courtil
176 : le Limonet. Maison
177 : le Limonet. Maison
178 : le Limonet. Bâtiment
180 : le Jardin de la Solizerais. Courtil
191 : la Vigne. Terre labourable
216 : le Marais de la Courbure. Pré
218 : le Marais de la Courbure. Terre labourable
219 : les Bruyères. Futaie
220 : les Bruyères. Terre labourable.
221 : le Veau de le Fart de Mély. Terre labourable
222 : le Veau de le Fart de Mély. Futaie
223 : le Vallet. Pré
224 : le Petit Verger de Grillemont. Courtil
225 : le Château. Maison
226 : le Jardin. Jardin
227 : le Verger du Jardin. Terre labourable
228 : le Jardin de Derrière. Courtil
229 : le Rehanet. Maison
231 : le Courtil. Courtil
232 : la Vallée sur Léphard. Pré
233 : le Grand Jardin. Courtil
234 : le Rehanet. Maison
235 : le Petit Jardin. Courtil
236 : le Closset. Terre labourable
237 : le Pré de la Noë. Pré
238 : la Vallée de Combette. Futaie
239 : le Clos Suzin. Terre labourable
240 : le Taillis du Réhanet. Taillis
262 : le Bois de Jannais. Taillis
263 : les Grndes Jannais. Terre labourable
273 : le Verger. Terre labourable
274 : les Barrières. Terre labourable
275 : la Chateigneraie. Forêt
276 : la Chaussée.Pâture
277 et 278 : le Pré de l’Etang. Pré
279 : la Samsonnaye. Maison
280 : le Vivier. Pièce d’eau
281 : Laveaue. Pré
282 : le Petit Jardin. Culture
283 : le Grand Jardin. Jardin
284 : la Pépinière. Terre labourable
285 : le Clos du Colombier. Terre labourable
286 : le Colombier. Bâtiment
287 : la Rabine. Forêt
288 : les Murailles. Terre labourable
289 : le Clos Rose. Terre labourable
290 : les Champsgerard. Terre labourable
291 à 294: les Grands Prés. Terres labourables
296 : le Pré Juhel. Terre labourable
297 : le Pré Pourri. Lande
298 et 299 : le Clos des Abreuvoirs. Pâtures
300 : le Vieux Chanvre. Pâture
301 : la Petite Jaunaie. Terre labourable
302 : la Petite Jaunaie. Lande
303 : la Petite jaunaie. Taillis
304 : les Viollettes. Futaie
305 : le Clos Devant. Terre labourable
308 : le Clos de la Perche. Terre labourable
309 : le Chmap de l’Orme. Terre labourable
310 : le Clos des Poiriers. Terre labourable
311 : la Cour Bregeens. Terre labourable
312 : les Champs Mingués. Terre labourable
313 : L’Auchette. Terre labourable
314 : le Champs Guillaume Thomas. Terre labourable
315 : le Clos Hezoir. Terre labourable
316 : les Moulinets. Terre labourable
317 : L’Ecobe. Terre labourable
318 : la Pâture au Cheval. Terre labourable
319 : le Clos de Pelineuc. Terre labourable
320 : le Clos des Lavoirs. Terre labourable
321 : la Janaie de Pelineuc. Terre labourable
322 : le Grand Clos de l’Hôtel. Terre labourable
323 : le Petit Clos de l’Hôtel. Terre labourable
324 : le Jausset long. Terre labourable
325 : les Rocheriaux. Terre labourable
326 : les Grands Langerais. Terre labourable
327 : les Petits Langerais. Terre labouranle
328 : les Langerais. Terre labourable
330 : la Grande …Forêt
331 : la Clé aux trois Cornières. Lande
332-333 : le Grand Clos des Landes. Terre labourabl e et pâture
334 : le Petit Clos des Landes. Terre labourable.
335 : le Clos des Vignes. Terre labourable
377-378 : la Prière.
Jean-Pierre