Fromentel.

Fin XVI siècleXXI siècle.
Fromentel.
L’Etude du passé
.
Assise au plus près de l’ancienne terre de la Ville Oris, assise au plus près du toujours très BEAU ET ancien manoir de Belestre, jamais simple métairie n’éclaira si peu notre Lanvallay et son histoire, n’éclaira si peu l’histoire sociale de notre ancienne petite paroisse.
Et pourtant !
Ah Silences !
Envie de révéler, de tout révéler ?
Finalement si certains d’entre nous jamais n’avaient été là pour rappeler certains passés humains…
Petit sourire.
Il est vrai cependant que l’oubli, parfois, pour certaines choses tout du moins, peut être quelques fois « salvateur ».

Et lorsque notre actuelle société, demain, aura fait entièrement disparaitre l’utilité même de l’utilisation de nos racines anciennes !
Un homme mécréant n’a t’il pas dit un jour « il nous faut déstructurer notre propre histoire » ?

Mais en attendant :
Aujourd’hui lieu abandonné puisque son exploitation agricole fermée, comme tant d’autres d’ailleurs, ne reste plus aujourd’hui de son ancienne métairie que les vieilles dépendances agricoles d’hier, et sa jeune petite maison apparue en la seconde moitié du XX siècle.
Le petit logis originel, peut-être lui aussi hier « petit manoir de Campagne », à entièrement disparu en ce même XX siècle sous les coups des pics et des marteau remplacé qu’il fut par un nouvel agrandissement, par un nouveau grand entrepôt.
Les dépendances d’hier contiennent toujours à cette heure la paille, elle aussi d’hier ; elles contiennent toujours toutes les odeurs d’un passé déjà ancien. Elles contiennent toujours certains souvenirs d’hier ; et certains regrets aussi.

C’est tout du moins mon ressentit personnel il est vrai.
Voilà !
Et tous ces souvenirs jusqu’à quand dites moi ?

Fromentel, et cela malgré tout son actuel anonymat, semble devoir apparaitre en les toutes dernières heures du XVI siècle son tout premier possesseur connu, le sieur Jan Porée, celui-ci né noble homme, voyant le jour vers 1570-75.
Jan rendra son dernier souffle, son ultime geste il est vrai, le 09/12/1626.
De fait semble Jan devoir être l’un des enfants du noble homme Laurent Porée et d’Olive de Saint-Cyre, tous les deux sieur et Dame du Fourdoré 
(Anciennes maison et métairie assises en Saint-Coulomb, proche de Saint-Malo. Les Porée étaient aussi possesseurs des terre/maison/métairie du Val Eon. Ils avaient pour Armoiries : d’Azur au pal d’or, chargé en chef d’une étoile de sable, senestrée d’un coeur de gueules, et en pointe d’un croissant de même. Armorial de1696.

Laurent semble devoir être le chef de famille des sieurs Porée du Fourdoré issus de Saint-Malo de Lisle. Laurent verra le jour le 10/02/1538 à Saint-Malo de Lisle et décédera en cette même ville avant 1585. Olive décédera elle aussi à Saint-Malo de Lisle, le 22/02/1622. En effet au lendemain de Jan nous retrouvons Fromentel déposé entre les mains du noble homme Guillaume Porée le propre petit-fils des susdits Laurent et Olive. La transmission de Fromentel semble donc avoir été établie entre l’oncle et le neveu).



Olive susdite de fait fut l’un des enfants du noble couple Richard de Saint-Cyre et Janne Serizay très nobles bourgeois possesseurs de la terre du Parc, en Taden. Celle-ci de tout temps s’ouvrira toujours sur les anciennes possessions des seigneurs d’Avaugour.
Et François de Saint-Cyre, le propre frère d’Olive, ne fut t’il pas celui qui, sous la Ligue, ouvrit lui aussi les Portes fermées de Dinan à la soldatesque du roi Henry IV ?
Paris venait de bien valoir une messe alors pourquoi Dinan n’aurait pas valu de voir ses propres portes ouvertes dites moi ?
Et puis nous devons également citer Jan de Saint-Cyre lequel, lui aussi leur frère à tous deux, époux de Janne Lefer, fut l’un des Procureurs du roi installés en Dinan intra muraux.



Mais lorsque tout nous ramène à la Magdeleine du pont à Dinan…
Ah obsession !
Laurence Porée, sœur de Jan susdit, prendra pour époux Gilles Mouton sieur du Plessis ; celui-ci demeurait alors au pont à Dinan. René Mouton leur petit-fils, petit-neveu donc de notre susdit Jan Porée lui même, sera lui aussi possesseur au pont à Dinan, à la Magdeleine.

Il prendra ainsi la possession du logis de Grillemont assis sur les pavés de la Magdeleine, logis bien hier du noble homme écuyer André Du Fresne cité ici même à la Magdeleine dès l’année 1540.


Dans ce même logis René fera faire une cheminée dans laquelle il fera intégrer ses propres Armoiries.
De fait René était très notable tant par son métier que par ses propres responsabilités. Ainsi, de métier Apothicaire, René sera aussi par ses propres responsabilités « sociales  » échevin et connétable de Dinan ; il sera aussi Capitaine en charge de la de Dinan. Ses propres Armoiries étaient : De gueules à l’épée d’argent en pal accompagnée d’un croissant à dextre, d’une canne à semestre et de deux étoiles, le tout en argent.

Grillemont
Grillemont

Plus encore

Carize Mouton, sœur du même Gilles, celui-ci habitant de fait à quelques 30 mètres seulement de sa sœur, pris pour époux le noble homme Olivier Gigot sieur et dame de la Lande.
Le hasard voudra que ce dernier, et cela par les seuls droits d’hérédité, entrera en la possession du grand logis de la Cour de Bretagne l’existence de celui-ci étant attesté dès l’année 1598 
(De fait il est toujours assis aujourd’hui juste en face de l’ancien Grande maison de la Croix-Verte elle aussi noble logis édifié en 1571 ; date de la cheminée muette présente en celui-ci, ou celle-ci).

De fait Fromentel restera au sein de la noble famille des Porée tout au long de 5 générations complètes.

Le grand logis de la Cour de Bretagne



Nous avons ainsi successivement :
– Jan Porée susdit ; sieur de Fromentel.

Guillaume Porée susdit, son neveu (Guillaume était uni à Thomasse Bonfils fille de Jan Bonfils Conseiller du Roi à Dinan et son Procureur).Sieur de Fromentel.
– Jacques Porée neveu du précédent par lequel semble devoir transité Fromentel. Sieur de Lespinay.
– N.Porée fils du précédent sieur de Lespinay par lequel aussi transitera Fromentel. Sieur de Lespinay.
– Jan Porée fils du précédent. Sieur de Lespinais et de Fromentel 
(Celui-ci épousera Janne Blondeau fils du marchand de soie Pierre Blondeau et de Marie Gigot la propre fille des susdits Olivier Gigot Gigot et Carize Mouton celui-ci possesseur par droits d’hérédité en effet du susdit grand logis de la Cour de Bretagne.
Pour information Olivier semble avoir été « marchand de thé intra muros de Dinan comme nous l’indique l’un des BMS de Saint-Sauveur de Dinan. Existe toujours aujourd’hui, en l’église de Saint-Sauveur, juste au derrière du Chœur et dans leur ancienne chapelle familiale, leur pierre tombale Gigot/Mouton. Noble dame Carize susdite sera l’une des marraines de la toute nouvelle cloche paroissiale de Lanvallay. Rien de moins s’il vous plaît. Janne Gigot, sœur de la dite Marie, prendra pour époux le noble homme André Lerenec sieur, en autre, de la Villeameline en Tressaint.

Celui-ci, sur les Conseils de son ami Charles Duclos, académicien et maire de Dinan, ouvrira en les murs mêmes de la dite Grande maison de la Croix-Verte, grande hostellerie dès l’année 1634,le tout premier relais à côche reliant Dinan à Rennes. Les susdits Pierre Bondeau/Janne Gigot, tous deux donc oncle et tante de la dite Janne Blondeau femme et compagne du dit Jan Porée sieur de Fromentel, auront pour enfant « Pierre Blondeau fils » celui-ci aussi sieur de la Villeménard, aussi marchand de draps de soie.
Ce dernier sera pour dettes civiles, et cela à la demande de la dame de Porto Corvo, emprisonné au chasteau de Dinan pour dettes civiles. Sa fratrie sera obligée de vendre tous ses biens assis proches de Saint-Juvat/Trévron pour « éponger celles-ci.
Comme quoi).

1743.
Acte judiciaire
Vente des héritages de Pierre, Janne et Marie Blondeau
(Vente faite pour permettre l’effacement des dettes de Pierre).

L’an mil sept cent quarante, le dix-neuvième  jour de mai, après midi, devant nous notaires royaux héréditaires à Dinan soussignés, ont comparu en leur personne noble homme Pierre Blondeau, sieur de la Villeménard [Ce dernier est « Pierre Blondeau fils » ses parents étant « Pierre Blondeau père » et Janne Gigot, sœur de Catherine, toutes deux propriétaires héréditaires du noble logis dit de la Cour de Bretagne. Pierre  Blondeau premier du nom, lieutenant de la milice de Dinan, sera aussi marchand de draps de soie et cela à l’image de son grand-père, Gilles Blondeau celui-ci époux de Laurence Lecourt.
En les familles de Blondeau et de Porée nous trouvons ainsi deux familles lesquelles toutes deux, et cela pendant plusieurs générations, seront « marchands de draps de soie ». Cette activité professionnelle sera importante tout au long de l’histoire de la ville de Dinan puisque dès le XII siècle elle sera réputée pour ses draps citant ses drapiers œuvrant au sein de maisons de draperie. D’ailleurs la ville de Dinan exportera ses draps jusqu’à Cadix en Espagne.
La rivière de Rance lui ouvrant un accès sur la mer Dinan ainsi exportera au loin ses propres produits comme elle apportera aussi de loin tous ses besoins non produits en ses terres. Pour illustrer ce propos Christophe Lesné, né vers 1660, fils de Maurice Lesné et époux d’Hélène Jan dame de Grandchamp, capitaine de Dinan, inhumé d07/01/1703 aux Jacobins de Dinan, sieur de Pélineuc ou de Pelineuf en la paroisse de Lanvallay, trouvera le jour de sa naissance au Pérou, en le royaume de Lima
 D’après les écritures de certains actes de baptêmes l’arrière grand-père de Pierre, premier du nom, Christophe Blondeau, sera lui aussi « marchand » en la charnière des XVI et XVII siècles. L’était t’il déjà de draps ou bien « maitre » d’autres choses ? ], demeurant à Dinan, près de la Grande Rue, paroisse et diocèse de Saint-Malo et actuellement détenu aux prisons royaux de cette ville pour dettes civiles à la requête de la Dame de Portcorvo ; noble homme Jan Porée sieur de Fromentel  faisant, agissant et garantissant pour demoiselle Janne Blondeau, son épouse, à laquelle il promet ratifier le présent dans quinzaine, demeurant à leur maison de la Soudrais, paroisse de Pleudihen, diocèse de Dol, et demoiselle Marie Blondeau veuve de feu noble Jacques Porée sieur du dit nom, demeurant en cette ville rue de la Mitrie, paroisse de Saint-Sauveur, les dits Blondeau héritiers purs et simples de feu noble homme Pierre Blondeau sieur de la Villeménard leur père, qui [est] héritier sous et par bénéfice de la Grange-Vallée son oncle, lesquels dits sieur et demoiselles Blondeau, même le dit sieur de Fromentel-Porée, en la dite qualité ont, avec promesse de garant, ensemble et solidairement, vendus, quittés, délaissés tant pour eux que pour leurs hoirs successeurs ou cause ayant, à maître Yves Reslou sieur de la Tisonnais demeurant à Dinan, place du Marchix dite paroisse de Saint-Sauveur, ci présent acquéreur, et acceptant faisant pour au nom de leurs héritages ci-après situés aux environs du village de Tégris et de la Croix Paumelin, les tous en la paroisse de Saint-Juvat, consistant en deux sillons deux rayes de terre en pièce appelée les Bouhourdries  joignant des deux côtés à terre d’Eustache Lemée, d’un bout au chemin conduisant de Paumelin aux Croix du Paradis Douantage; trois autres sillons de terre en pièce appelée Lorgeville, joignant des deux côtés à terre des héritiers de Marie Moucet; finalement cinq sillons de terre dans un courtil appelé le Courtil du Bas, joignant d’un côté à Dominique Bougis et de l’autre au chemin du dit lieu et d’un bout à Julien Neveu, quoi que se soit ce qui en peut compter et appartenir aux dits vendeurs aux dites pièces de terre sans que néanmoins le dit acquéreur puisse inquiéter les vendeurs pour plus grand ou moins de contenant, attendu qu’ils ne sont saisis d’aucun titre concernant la propriété des dits héritages et généralement vendent et transportent les dits héritages baillis tenus prochement et roturièrement de la seigneurie de Langenenais par le grand bailliage de Saint-Juvat ou autres en dépendant, à charge d’y payer les rentes féodales ci-décrites suivant les titres de la seigneurie. La vente est faite entre parties pour la somme de cinquante livres de principale, sans vin ni commission, de laquelle somme le dit sieur Reslou, en la dite qualité, l’a présentement compté et payé en bonnes espèces trente trois livres six sols huit deniers dont le dit sieur de la Villeménard s’est saisi du consentement des autres vendeurs et en nos présence le prix sur de la dite somme. Le dit sieur Reslou en sa dite qualité s’est obligé de la payer aux autres vendeurs après l’appropriation qu’il sera tenu de faire dans le temps de la coutume au moyen de quoi les dites parties vendeuresses dès à présent se sont dessaisies, dévêtues et dépossédées de la propriété et jouissance des dits héritages et en ont saisi, vêtu et emparé le dit Reslou au dit nom et pour mettre en la réelle et actuelle possession des dits héritages. Ils ont nommé et institué pour leur procureur général et spécial Maître… et chacun le premier requis sans révocation et en outre sera le dit sieur Reslou tenu et obligé sans diminution du prix principal du présent faire et acquitter les vendeurs de la cueillette du bailliage dont relèvent les dits héritages et de payer les rentes féodales dues sur eux pour l’an dernier, quitte du passé, parce que le sieur Reslou  touchera d’avec Eustache Lemée et Jan Thomas vingt huit sols par eux dus pour la jouissance des dits héritages et libèrera les dits sieurs demoiselles vendeurs de tous frais… qui ne peuvent monter qu’à la somme de quatre livres … à l’exécution et accomplissement  de tout ce que…se sont les dites parties chacune en ce qui le touche, même les dits sieur et demoiselles vendeurs jointement et solidairement obligés sur tous leurs biens réels et immobiliers, présents et futurs, pour en cas de défaut êtres ceux-ci saisis et vendus suivant l’ordonnance et après la lecture au long a été faite aux dites parties, elles l’ont ainsi voulu, connu, consenti, promis et juré tenir sans y contrevenir, ce à quoi nous dits notaires les y avons condamné par autorité de notre cour royale de Dinan avec soumission ici jurée, même celle de Langeninais pour procéder dans la dite juridiction de Langeninais sans exception. Fait et apporté entre les portes de la dite prison, lieu de liberté où les dites parties nous ont requis de descendre, sous les seings des dites parties chacune pour leur fait et les notres les dits jour et an. 
Ont signé : Blondeau de la Villeménard; Marie Blondeau; Jean Porée sieur de Fromentel; Reslou, Vaugrenat et Broussais  notaires royaux . Contrôlé et insinué à Dinan le 27 mai 1740. Reçu trente six sols. [la copie de cet acte a été obtenue des archives de Maitre Vaugrenat dont les minutes sont classées en la série 3 et remise par maitre Robert notaire à Dinan. Note de monsieur Jacques Fournier mon défunt père. 1989] 

Fromentel
La nouvelle maison édifiée en la seconde moitié du XX siècle.

Jan Porée susdit, époux de Janne Blondeau donc, celui-ci en les actes judiciaires de son dit beau-frère Pierre Blondeau sera aussi dit « sieur de Fromentel ».
En son lendemain Fromentel sort de l’escarcelle des dits Porée. Et nous sommes alors seulement à quelques dizaines d’années seulement de la Révolutions française.
Assise au plus près de la dite Ville Oris, celle-ci achetée par les Ursulines de Dinan avant la dite Révolution, les mêmes Ursulines n’auraient pas pu acheter avec Ville Oris « Fromentel » aussi ?
Les biens religieux étant presque tous confisqués par la jeune République Ville Oris sera acquis sous le Directoire, aux enchères, par le sieur Denoual celui-ci Juge de paix à Dinan ; ce dernier se portera aussi acquéreur en Lanvallay, en la bas de la rue Anne, de l’ancienne terre, métairie et logis du « Pavillon ».


En 1811 la matrice cadastrale de Lanvallay nous donne comme étant le possesseur de Fromentel, le noble homme Du Breil Lebreton, de Rennes. De fait il s’agit du noble homme Octavien Du Breil Lebreton époux de Mlle Jacques de la Bezardais qui était alors « juge » au tribunal civile de Rennes. La famille Le Breton, seigneurs du Breil, est issue de l’ancienne bourgeoisie de Rennes. Ayant par l’acquisition de charges cherchée à s’agréger à la noblesse elle sera cependant déboutée de ses prétentions lors de la grande Réformation de la noblesse réalisée en1668. Pierre le Breton, sieur du Breil, en la paroisse de Saint-Étienne de Rennes, échevin de Rennes, épousa vers 1650 Françoise Garnier. Il sera le père de Pierre le Breton sieur du Breil né en 1655 lequel, échevin de Rennes, sera aussi marchand de drap et de soie en celle-ci ; décédé en 1724 son blason sera néanmoins enregistré d’office à l’Armorial général de 1696. Il sera le grand-père de Jacques du Breil le Breton, procureur au Parlement de Bretagne, décédé en 1740. Il sera aussi le bisaïeul de Jacques-Yves du Breille Breton celui-ci « avocat au Parlement de Bretagne ».
A le métier de Robes !
Dans la continuité de cette énumération il fut donc aussi le trisaïeul de Jacques-Joseph du Breil le Breton né à Rennes en 1742 celui-ci avocat marié à Dinan, en 1772, à Mlle Aubry des Tourelles, décédé à Rennes en 1819. Et pour finir le quadrisaïeul également d’Octavien du Breil-Lebreton susdit).
Il est fort possible que ce fut le propre père d’Octave qui acheta, lui aussi à la bougie, Fromentel. Les actes cependant nous manquent.

Aujourd’hui en cette heure présente Fromentel appartient toujours au même possesseur de la Ville Oris.
Le hasard de la vie voudra que par les dits Aubry qu’Octavien lui même, par la généalogie, était lui aussi « descendant » du dit Richard de Saint-Cyre sieur du parc en Taden.
Décidément le monde est vraiment tout petit.